
L’histoire se situe au cœur des années 60. Des joueurs et dirigeants du RCV se rendent aux obsèques d’un collègue. L’une des voitures est conduite par Jo Courtel, accompagné, d’André Carrier et d’Oudol dit « Pépète ». Le trio arrive assoiffé. Mais grâce à Dieu, face à l’église, une taverne dont l’officiant ne se réserve pas le vin pour lui seul, semble de bon augure pour se désaltérer.
Hélas, peu regardant sur l’heure, nos énergumènes se présentent devant une porte d’église déjà refermée. Qu’à cela ne tienne, ils tentent une entrée discrète mais le grincement de la porte désigne inévitablement les trois retardataires. Redoublant alors de vigilance, ils s’engagent à pas feutrés vers le fond de l’église. Sagement, ils s’assoient sur un banc de petite longueur. Le prêtre tout à son office, demande à l’assistance de se lever. Un seul de nos trois compères s’exécute, les deux autres peu attentifs restent assis. Le banc déséquilibré se souleva et précipita inévitablement nos deux gaillards à terre. Fous rires on ne sait pas, mais ce qui est sûr, c’est qu’en quelques minutes, par 2 fois, nos compères se sont trouvés sous le regard courroucé de toute une assistance. Force est de constater que déjà à l’époque nous avions des dirigeants … de poids !

Et maintenant ?


Si vous aimez la voile ne lisez pas cet article!
Il va vous parler d’un dériveur performant, que vous pourriez emporter n’importe où dans le monde, que les américains ont plébiscité dès sa première présentation au salon nautique de New York où il sera couronné bateau de l’année par le plus lu des magazines de nautisme Américain. Dans cette même ville, l’un des musée d’art moderne le plus célèbre au monde va en acquérir un exemplaire pour l’exposer.
Tiwal car c’est de cette jeune entreprise que nous parlons, est basée à Vannes et a recourt à de nombreux sous traitant locaux. Créé par deux jeunes à l’esprit d’entreprise exceptionnel, car il faut l’être pour se lancer sur le marché du nautisme avec la simple intuition que le bateau qu’on a en tête se vendra en 3 ans à plus de 1500 unités. Il faut être jeune et complètement fou pour créer une entreprise parce que votre papa ne voulait plus vous prêter son voilier ! Marion l’a fait ! Emmanuel l’a suivi ! Et ils se sont entourés d’une équipe non seulement sympathique, mais compétente et motivée
J’ai testé cette merveille, et je l’ai adopté. Cà ne peut pas être autrement ! Et si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce qu’il est stupéfiant que ce bateau soit plus connu à l’étranger qu’en France, et si peu à Vannes ! Alors que depuis la quasi disparition du Sinagot, il est le mieux placé pour représenter l’identité du Golfe du Morbihan.
Mais un long discours ne remplace pas une courte vidéo, nous en présentons deux mais vous en trouverez de superbes sur le site lui-même, ou je vous conseille celles relatant la TIWAL’s Cup annuellesabout:blankFichierTéléversez un fichier ou choisissez-en un dans votre médiathèque.TéléverserMédiathèque
Mais un long discours ne remplace pas une courte vidéo, nous en présentons deux mais vous en trouverez de superbes sur le site lui-même, ou je vous conseille celles relatant la TIWAL’s Cup annuelles
Bon vent
Bon vent
