Jacques POULAIN se souvient :
Saison 67/68, deux clubs de rugby évoluent à Lorient : Le FC Lorient et le RC Lorient. Et au RC, on ne compte pas que des enfants de cœur, bien loin s’en faut ! Et pour exemple, il faut remonter au 18 février 1968, le RCV est amené à jouer contre ladite équipe sur un terrain lorientais, à la limite du praticable qui plus est, sous un vent et une pluie battante. A l’issue du match qui s’avéra très rugueux et remporté 12 à 3 par le RCV, Jean Bodard, dirigeant vannetais s’en prend verbalement à un joueur de Lorient dont le comportement fut particulièrement agressif. En guise de réponse, le joueur arrache un piquet de touche et à la façon d’un javelot, le lui lance à la figure. Mais Jean, d’un mouvement leste, esquive le projectile qui sans nul doute aurait pu l’éborgner et le transformer en pirate ! Et là, c’aurait été une tout autre vie …

L’équipe du RCV, composée de Rebotier, Loil, Richard Tanguy, Moysan, Meneghin, Marty, Rembert, Bouché,Courtel, Pamphile, Machat, Daguerre, Deschamps, Poulain et Alain Berthe, se souviendra de ce match pour le moins musclé, sremporté grâce à 1 essai de Marty, 1 drop de Pamphile et 2 pénalités Christian Courtel.
Sur cet article nous avons eu un témoignage par mail de Mr LESSARD ::
Bonjour. Jouant à Lorient à cette époque (La photo n’est pas nette, mais je crois bien me reconnaitre sur la touche du « fameux » match du 20 décembre 1970) je confirme. Il existait des contentieux militaires entre les gars du RIMA de Vannes et les FUSCO de « chez nous », la boîte à gifles était souvent ouverte. Ce 20 décembre, un délégué de la fédé avait fait la leçon aux deux équipes avant d’entrer sur la pelouse. Ce qui n’ait pas empêche une distribution de pruneaux sur un maul. Je m’en souviens parfaitement.
Sur la partie “Historique” du blog, nous avons reçu de Michel Steck les photos suivantes, qu’il datait de 1965 et situait à Lorient. Est-ce le même match ? Si vous le savez, envoyez moi la réponse, Merci





Si vous aimez la voile ne lisez pas cet article, vous allez craquer.
Il va vous parler d’un dériveur performant, que vous pourriez emporter n’importe où dans le monde, que les américains ont plébiscité dès sa première présentation au salon nautique de New York où il sera couronné bateau de l’année par le plus lu des magazines de nautisme Américain. Dans cette même ville, l’un des musée d’art moderne le plus célèbre au monde va en acquérir un exemplaire pour l’exposer.
Tiwal car c’est de cette jeune entreprise que nous parlons, est basée à Vannes et a recourt à de nombreux sous traitant locaux. Créé par deux jeunes à l’esprit d’entreprise exceptionnel, car il faut l’être pour se lancer sur le marché du nautisme avec la simple intuition que le bateau qu’on a en tête se vendra en 3 ans à plus de 1500 unités. Il faut être jeune et complètement fou pour créer une entreprise parce que votre papa ne voulait plus vous prêter son voilier ! Marion l’a fait ! Emmanuel l’a suivi ! Et ils se sont entourés d’une équipe non seulement sympathique, mais compétente et motivée
J’ai testé cette merveille, et je l’ai adopté. Cà ne peut pas être autrement ! Et si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce qu’il est stupéfiant que ce bateau soit plus connu à l’étranger qu’en France, et si peu à Vannes ! Alors que depuis la quasi disparition du Sinagot, il est le mieux placé pour représenter l’identité du Golfe du Morbihan.
Mais un long discours ne remplace pas une courte vidéo, nous en présentons deux mais vous en trouverez de superbes sur le site lui-même, ou je vous conseille celles relatant la TIWAL’s Cup annuelles
Bonjour. Jouant à Lorient à cette époque (La photo n’est pas nette, mais je crois bien me reconnaitre sur la touche du “fameux” match du 20 décembre 1970) je confirme. Il existait des contentieux militaires entre les gars du RIMA de Vannes et les FUSCO de “chez nous”, la boîte à gifles était souvent ouverte. Ce 20 décembre, un délégué de la fédé avait fait la leçon aux deux équipes avant d’entrer sur la pelouse. Ce qui n’ait pas empêche une distribution de pruneaux sur un maul. Je m’en souviens parfaitement.