Les enfants terribles du RCV

Une histoire qui ne manque pas de sel ….

Le 28 mars 1970, le RCV à la suite d’une magnifique saison, accède en National (Fédéral 3). Lors d’un déplacement hors des frontières de la Bretagne, sur le chemin du retour le car fait une halte pour que les passagers puissent dîner dans un restaurant.

Les joueurs et dirigeants affichent un air joyeux et pour cause, ils ont gagné : une victoire acquise de haute lutte. Tous sont attablés lorsque le président Jo Courtel prend la parole pour féliciter les acteurs de la belle prestation. En préambule, il indique qu’il a volontairement placé à ses côtés, Pierre Loussouarn dit « Loulou » et Jacques Poulain surnommé « James », afin d’avoir un œil sur eux. Ainsi, pense-t-il éviter tous débordements festifs de ses ouailles pendant le repas !  

Mais c’est sans compter sur la malice « ô combien » redoutable de Loulou et James. Tandis que le dirigeant, debout s’exprime avec enthousiasme, nos deux lascars pendant ce temps s’affairent discrètement dans son dos, et tapissent sa chaise de poivre et sel. Ils adoraient leur président, mais aimaient aussi l’assaisonner !  

Une caméra de surveillance livrera nos deux compères en action, tandis que le Président fait son discours

Cartons rouges pour ces deux-là qui sont vraiment les enfants terribles de l’équipe.

Si  vous aimez la voile ne  lisez pas cet article!   

Il va vous parler d’un dériveur performant, que vous pourriez emporter n’importe où dans le monde, que les américains ont plébiscité dès sa première présentation au salon nautique de New York où il sera couronné bateau de l’année par le plus lu des  magazines de nautisme Américain. Dans cette même ville, l’un des musée d’art moderne  le plus célèbre au monde va en acquérir un exemplaire pour l’exposer.

Tiwal  car c’est de cette jeune entreprise que nous parlons, est basée à Vannes et a recourt à  de nombreux sous traitant locaux. Créé par deux jeunes à l’esprit d’entreprise exceptionnel, car il faut l’être pour se lancer sur le marché du nautisme avec la simple intuition que le bateau qu’on a en tête se vendra en 3 ans à plus de 1500 unités. Il faut être jeune et complètement fou pour créer une entreprise parce que votre papa ne voulait plus vous prêter son voilier ! Marion l’a fait ! Emmanuel l’a suivi ! Et ils se sont entourés d’une équipe non seulement sympathique, mais compétente et motivée

J’ai testé cette merveille, et je l’ai adopté. Cà ne peut pas être autrement ! Et si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce qu’il est stupéfiant que ce bateau soit plus connu à l’étranger qu’en France, et si peu à Vannes ! Alors que depuis la quasi disparition du Sinagot, il est le mieux placé pour représenter l’identité  du Golfe du Morbihan.

Mais un long discours ne remplace pas une courte vidéo, nous en présentons deux mais vous en trouverez de superbes sur le site lui-même, ou je vous conseille celles relatant la TIWAL’s Cup annuelles

Bon vent

Publié par reneneve

Rugbyman passionné, éditeur du blog "wwww.depuisledebut.com", curieux et toujours à la recherche d'idées nouvelles, ouvert à toute collaboration "gagnant gagnant", je suis imprégné des valeurs de mon sport préféré, et de ses fondamentaux.

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